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ACTU VÉLO
Puy-de-Dôme : Voie verte des Combrailles
Projet de voie verte des Combrailles dans le département du Puy-de-Dôme, sous maîtrise d’ouvrage de la Région Auvergne-Rhône-Alpes En collaboration avec les collectivités locales, la Région Auvergne-Rhône-Alpes porte un projet de voie verte d’une quarantaine de kilomètres, dans le département du Puy-de-Dôme sur le territoire des Combrailles, qui s’étend entre Sauret-Besserve au sud et Lapeyrouse au nord (réutilisation de l’ancienne ligne ferroviaire), ainsi que sur une section ouest entre Gouttières et Pionsat. Le fondement du projet est de requalifier une infrastructure ferroviaire aujourd’hui inutilisée et d’en faire une «colonne vertébrale» pour le développement touristique local. Des études de faisabilité ont démarré au printemps, menées par le bureau d’études SETEC Als. La Région a organisé une rencontre le 28 novembre 2024 avec les associations locales afin d’échanger sur le projet, son tracé, les usages actuels et futurs. La continuité de la voie verte jusqu’à Lapeyrouse permet d’offrir un report modal cycles/ferroviaire à la gare SNCF de Lapeyrouse : ligne Montluçon – Clermont-Ferrand. Les délégués départementaux de l’Allier et du Puy-de-Dôme de l’ AF3V présents ont relevé que le linéaire de cette future voie verte reste isolé par rapport à d’autres itinéraires longue distance ou connectés au maillage national ; le public en sera nécessairement plus familial et local. Concernant le revêtement, nous avons défendu les avantages d’un revêtement «lisse» type enrobé plutôt que stabilisé car il est plus inclusif, favorise une plus grande fréquentation («5 à 6 fois plus»), présente une meilleure longévité (15 à 20 ans) et un bilan environnemental comparable à d’autres revêtements sur sa durée de vie : le coût à supporter pour le gestionnaire est ainsi moins élevé (gestion, entretien, maintenance). Nous avons aussi demandé d’indiquer les distances sur les panneaux. Calendrier : 2025 : fin de l’étude de faisabilité ; 2026-2027 : études techniques et la SNCF doit transférer la gestion de l’infrastructure et enlever les rails, ce qui de facto ne laisse aucune possibilité de réutilisation en voie ferrée future 2028 : réalisation des travaux. Le coût est estimé entre 10 et 20 millions d’euros à la charge de la Région. L'entretien serait à la charge de de la Communauté de communes du Pays de Saint-Éloy Informations également sur : laregionvoustransporte.fr
Sophie POUILLY | le 15/01/2025
ACTU VÉLO
Pont de Normandie - Episode #9 : pas de navette à l'horizon 2025
On fait le point sur les deux dernières réunions organisées par la CCI Seine Estuaire du Havre (concessionnaire du pont jusqu’en 2031), au butin bien maigre. Rien ne semble vouloir avancer pour les cyclistes en 2025... Réunion du 16 octobre Seules les associations avaient été conviées. La CCI souhaitait faire un point sur les comptages initiés en mars. En effet, la CCI a installé une caméra au niveau de la barre de péage afin de pouvoir comptabiliser le nombre de cyclistes qui empruntent le pont. Entre le 11 mars et le 15 octobre, ils étaient 5 220 à avoir franchi le pont, malgré des conditions particulièrement difficiles dues à des restrictions de circulation consécutives aux travaux tout au long de l’année. En comparaison, la région Normandie a transporté 700 cyclistes sur l’ensemble de l’année 2023 sur la ligne de car 122 (ligne express Caen-Le Havre), grâce à des véhicules équipés d’un rack vélo. Petit rappel du fonctionnement de la ligne 122 dans cet article : Episode #8 – Pont de Normandie : Statu quo ! Lors de cette réunion, la CCI a annoncé le projet de mise en place de panneaux qui rappellent la difficulté du pont et rabattent les cyclistes vers la ligne de bus, entre la gare du Havre et le pont. Cela a été fait dans le Calvados, entre Honfleur et le pont. La CCI a affirmé relancer la région Normandie et la DIT (Direction des Infrastructures de Transport) sur les études complémentaires réclamées par les départements et les associations et l'expérimentation à 70 km/h, préalable obligatoire pour envisager la mise en place de 2 espaces mixtes piétons/cyclistes sur le pont. Réunion du 2 décembre Nouvelle réunion, nouvelle déception pour les associations. La région Normandie était présente, mais pas les départements de Seine-Maritime et du Calvados. La région, compétente pour l’organisation des transports, a refusé d’assumer une navette dédiée aux cyclistes et a proposé d’équiper une seconde ligne de bus munis de racks vélo, ce qui ajoute deux allers-retours supplémentaires. Cette proposition ne satisfait pas les associations, car la capacité d’emport des vélos reste trop faible et les horaires non adaptés. Les études complémentaires ainsi que l’expérimentation de la réduction de vitesse restent sans réponse ; la CCI affirme ne pas obtenir de retour de la DIT sur ces deux sujets. À ce stade, aucune avancée significative n’a été réalisée. Par ailleurs, la Vélomaritime est en lice pour le prix de la plus belle véloroute européenne de l'année. Sélection pour le titre de meilleure véloroute 2025 Verdict le 14 février. Si la Vélomaritime remporte le prix, le nombre de cyclistes va augmenter et la pression pour trouver des solutions efficaces va augmenter elle aussi. Il faudra bien plus que deux lignes de bus équipés de racks vélo pour absorber ce flux supplémentaire... Si elle perd, l’absence d’aménagement cyclable sur le pont aura, à n’en pas douter, une part de responsabilité. Ce serait même une véritable contre-publicité pour cette EuroVelo 4. Un autre pont fait parler de lui depuis quelques semaines : le pont de Saint-Nazaire. Prise en exemple par la CCI Seine Estuaire, sur les jours de fonctionnement et les horaires, la navette mise en place pour que les cyclistes puissent traverser l’estuaire de la Loire risque de ne pas reprendre de service : Loire-Atlantique : la navette pour traverser le pont avec son vélo est menacée Seine et Loire semblent être des fleuves infranchissables en sécurité à vélo ; les ponts qui les enjambent au niveau de leur estuaire sont dépourvus d’aménagements cyclables sécurisés. Une navette ne peut être la seule solution. C’est bien cet argument que brandissent les associations et les départements sur le pont de Normandie depuis des années. L’exemple de Saint-Nazaire ne fait que renforcer leur conviction.
Sophie POUILLY | le 15/01/2025
ACTU VÉLO
La Véloscénie : résultats de l'étude de fréquentation 2023
Une étude inédite menée en 2023 révèle son caractère exceptionnel et son potentiel de développement pour un tourisme durable et de proximité. Les chiffres clés Un itinéraire vélo à portée de 12.4 millions d’habitants Parmi les études menées sur les véloroutes, La Véloscénie se distingue par son cadre inédit. À ce jour, c’est le seul itinéraire exclusivement rural partant de la capitale française ayant été analysé, offrant une expérience cyclotouristique unique à proximité immédiate de 12,4 millions de Franciliens, soit 1/6 de la population française. Cette particularité en fait un terrain d'étude sans précédent dans le paysage cyclotouristique français. La Véloscénie est un itinéraire d’initiation qui mobilise un tourisme de proximité. 35% des itinérants sont des néo-pratiquants, un taux record par rapport aux autres véloroutes.  “Nous avons l’ambition de rendre désirable le voyage au vélo en décomplexifiant ce type de voyage auprès d’une cible néophyte.” explique Isabelle Mesnard, Présidente de La Véloscénie. La fréquentation record de l’itinéraire en Ile-de-France par des cyclistes quotidiens présente le grand potentiel de développement de La Véloscénie. Un nouveau rapport au voyage L'étude objective l'émergence de nouvelles tendances touristiques post-Covid : Un désir de ralentissement : La Véloscénie offre une "ode à la flânerie" par excellence. Un recentrage sur les destinations locales : L'itinéraire permet de découvrir des petites communes souvent ignorées des circuits touristiques traditionnels. Une aspiration à un tourisme plus durable : La Véloscénie propose une expérience de voyage décarboné au départ de chez soi. Une clientèle diversifiée et rajeunie La Véloscénie attire une clientèle plus jeune que d'autres itinéraires similaires : 28% des groupes sont des familles avec enfants, notamment sur les sections normandes dotées de voies vertes sécurisées. L'itinéraire s'adapte à diverses clientèles : cyclotouristes expérimentés, jeunes parisiens, ou familles. Des événements comme les "Mad Jacques" sont organisés pour attirer une jeune cible urbaine en quête d'aventure. “Notre objectif est de porter un message adapté à différentes cibles en proposant des escapades de 2-3 jours à destination des familles, de groupes d’amis, etc… au-delà de l’itinérance classique au long court. Le voyage à vélo place le touriste en tant qu’acteur de ses vacances. Aujourd’hui, il est nécessaire de proposer un tourisme de « précision », d’individualiser les propositions à chaque profil. La Véloscénie est un excellent terrain de jeu pour proposer diverses escapades adaptées à différents profils : fans de nature VS de patrimoine, micro-aventure et bivouac VS hôtels de charme et bons restaurants, etc…” explique Ketty Vaillant-Lambert, directrice de l’Office de tourisme Mont Saint-Michel Normandie. Zoom sur les retombées économiques et investissements : 17.4 millions d’euros de retombées économiques par an, soit 31 800€ / km / an Le panier moyen des itinérants (68€/jour) est légèrement supérieur à la moyenne des véloroutes étudiées en 2023. Ils représentent presque 20% des retombées économiques parmi les autres catégories de cyclistes observés. Dans certains campings communaux, jusqu'à 50% des nuitées sont attribuées aux cyclistes. Coût d'aménagement estimé à environ 30 millions d'euros, avec un retour sur investissement de moins de 2 ans pour les collectivités territoriales. La Véloscénie Paris Le Mont-Saint-Michel est un itinéraire développé et promu par un réseau de collectivités territoriales et leurs institutions touristiques.
Sophie POUILLY | le 20/12/2024
AMÉNAGEMENT
Bouches-du-Rhône : Saint-Etienne inaugure sa première voie verte
Le Village de Saint Etienne du Grès (Alpilles-13) poursuit sont plan d’équipement prévu et vient d’inaugurer (en octobre 2024) sa voie verte urbaine, en prolongement de l’EuroVelo 8 ( La Méditerranée à vélo) pour permettre à tous les cyclistes de se déplacer sur cet itinéraire de plus en plus fréquenté, en toute sécurité ! Le communiqué officiel Mardi 22 octobre, Marie-Pierre Callet, vice-présidente du Conseil départemental des Bouches du Rhône et Henri Pons, maire d’Eyguières, conseiller départemental délégué aux mobilités douces, représentant Martine Vassal, leur présidente, et Jean Mangion, maire de Saint-Étienne du Grès ont inauguré … à vélo … la piste de la Malautière qui réunit, en toute sécurité, Tarascon, la zone artisanale et le quartier de Laurade au coeur de village, à ses écoles et à ses commerces. Avec une volonté affichée de poursuivre sa politique de développement durable et de circulation douce, la Commune de Saint-Étienne du Grès a réalisé une voie verte « la Malautière » pour assurer la continuité de l’itinéraire cyclo touristique « EuroVelo 8 – la Méditerranée à vélo » ; des travaux réalisés avec le soutien sans faille du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône *. Il est désormais possible de circuler en toute sécurité « cyclable » de Saint-Rémy de Provence à Tarascon en passant par Saint-Étienne du Grès Ce dernier tronçon permet une continuité de circulation douce et apaisée depuis l’entrée Est de la commune vers la sortie Ouest, direction Tarascon. Le tronçon côté Est en provenance de Saint-Rémy avait pu être réalisé lors de travaux de l’esplanade de la mairie, le long du Marché aux fruits et légumes André-Vidau. Dans le cadre de l’engagement de la Municipalité pour une politique du « Mieux vivre au village », les travaux d’aménagement et de sécurisation du chemin de la Malautière et de l’EuroVelo 8 ont été engagés dès 2017 et se sont achevés à la fin de l’été 2024 *. Ils permettent d’assurer la continuité piétonne et cycliste, de développer et sécuriser les cheminements doux, en particulier pour les enfants rejoignant les écoles en cœur de village, tout en améliorant la qualité environnementale du site (création d’un réseau pluvial, végétalisation méditerranéenne des bas-côtés) et en rénovant et modernisant les équipements (passage de l’éclairage public en LED). Afin de sécuriser la circulation des piétons et de cyclistes, une glissière bois a été installée le long de la voie verte avec en bout, une passerelle bois sur structure métallique permettant la liaison avec la piste cyclable de l’EV8. Pour parfaire l’aménagement, il a été créé une continuité de cheminement depuis le Chemin de la Malautière jusqu’au Stade Joseph Véran, où une chicane a été créée à proximité immédiate des arrêts de bus pour « casser » la vitesse des automobilistes et protéger les nombreux enfants qui empruntent ce tronçon chaque jour. *Des travaux d’un montant HT de 290 000 €, subventionnés à hauteur de 50% par le Conseil départemental des Bouches du Rhône. CPT.com/Les Alpilles à vélo 10/2024 Source: Communication SEDG
Sophie POUILLY | le 26/11/2024
ACTU VÉLO
Orne : les travaux vont reprendre sur la Véloscénie !
Le Conseil d’état, la plus haute juridiction administrative de France, a donné raison au département de l’Orne. Les travaux avaient été stoppés le 1er octobre, sur décision du Tribunal Administratif de Caen - Consulter notre article : https://af3v.org/revetement-la-veloscenie-dans-lorniere/ Mais les travaux de pose de l’enrobé prévus sur la portion de la Véloscénie vont pouvoir reprendre puisque le Conseil d’Etat est revenu sur cette décision en appel. Ce dernier considère que les travaux de pose de l’enrobé n’avaient pas à être soumis à une étude au cas par cas comme le prétendaient les 8 associations opposées à l’enrobé sur la véloroute. Le jugement s’appuie aussi sur les arguments publiés dans le livret de l’AF3V : Consulter le compte-rendu du jugement Le département s’en explique dans son communiqué du 25 octobre dernier : https://www.orne.fr/actualite/reprise-des-travaux-sur-la-voie-verte La décision du Conseil d’Etat a également été reprise dans la presse : https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/orne/pourquoi-les-travaux-contestes-de-bitumisation-vont-redemarrer-sur-la-voie-verte-de-la-veloscenie-3048679.html https://actu.fr/planete/voie-verte-bitumee-le-conseil-detat-relance-le-chantier-du-departement-de-lorne_61776326.html Le feuilleton juridique n’est pas terminé pour autant. Sauf désistement, le recours au fond va se poursuivre, mais n’empêchera pas la réalisation des travaux. Il y a cependant de fortes chances que les 8 associations soient déboutées. Nous avons maintenant hâte de voir cette première réalisation en enrobé dans ce département normand !
Sophie POUILLY | le 25/11/2024
AMÉNAGEMENT
Revêtement : La Véloscénie dans l’Ornière ?
Depuis plusieurs mois, le département de l’Orne, décidé à poser un enrobé sur la Véloscénie, sur la portion comprise entre Condé-sur-Huisne et La Mesnière, rencontre des oppositions fortes. Nous en parlions dès le mois de mars dans notre article "Normandie : L'Orne se lance dans l'enrobé sur la Véloscénie, mais à petite dose..." Le département de l’Orne pensait terminer les travaux de pose de l’enrobé avant l’été 2024. C’était sans compter sur la bronca à laquelle il doit faire face. La presse (et notamment Le Perche) se fait l’écho de toutes les manifestations empêchant la pose de cet enrobé. En avril, des associations réclament une consultation, lire l'article de actu.fr "Voie verte du Perche : les associations réclament une "véritable consultation" Le Perche allait interroger les cavaliers et montrait qu’ils ne parlaient pas d’une seule voix. Lire l'article de actu.fr "Que pensent les cavaliers du projet d'enrobé sur la voie verte du Perche ?" Le 15 juin 2024, huit associations opposées à la pose de l’enrobé organisent une manifestation à Saint-Langis-Lès-Mortagne. Lire l'article de actu.fr "Une rando-manif pour dire Non au saccage de la voie verte dans le Perche" En septembre, la pression monte encore d’un cran. Elles écrivent au Préfet et lancent deux procédures contre le département. Lire l'article de actu.fr "Voie verte du Perche : des associations écrivent une lettre au préfet" Le 1er octobre, les travaux sont suspendus sur décision de justice alors que les engins de chantier étaient arrivés sur place : Lire le jugement du tribunal de Caen Consulter la presse à ce sujet : Atu.fr : Dans l'Orne, les travaux sur la voie verte suspendus d'urgence par la justice actu.fr : Pourquoi le tribunal ordonne de suspendre les travaux sur cette voie verte de l'Orne ouest-france.fr : Le tribunal administratif suspend les travaux d’enrobage d’une partie de la Véloscénie dans l’Orne france3-regions.francetvinfo.fr : Polémique. Pourquoi la bitumisation d'une partie de la voie verte de la Véloscenie ne passe pas ? Faisant face aux deux procédures lancées concomitamment (recours déposé au Tribunal Administratif de Caen et référé-liberté), le département annonce le 15 octobre aller se défendre devant le Conseil d’Etat pour le référé-liberté. Lire l'article de actu.fr : Pour sa voie verte en enrobé le Département de l'Orne ira au Conseil d'État. L’AF3V, qui suit ce dossier avec attention, a décidé d’écrire aux huit associations opposées à l’enrobé. Comme souvent, celles-ci utilisent les idées reçues sur ce revêtement que nous nous évertuons à déconstruire. Consulter le courrier aux 8 associations Nul doute que l’Orne, qui dispose du livret "Revêtement des Voies Vertes : Déjouer les idées reçues pour un choix écoresponsable" va reprendre les arguments de ce livret. Nul doute qu’il va aussi aller pointer les contradictions et les incohérences. En effet, tout repose sur une étude au cas par cas que le département aurait dû demander à la DREAL (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement), si l’on en croit ce qui est indiqué dans le jugement rendu par le tribunal administratif de Caen. Cette étude apparaît obligatoire pour la construction d’une voie verte de plus de 10 km. Sauf que la Véloscénie a été construite en 2008, après avoir obtenu toutes les autorisations environnementales nécessaires et que les travaux engagés par le département relèvent de la rénovation. Si l’on se réfère au Guide de lecture de la nomenclature de l’évaluation environnementale des projets qu’on trouve sur le site du Ministère de la Transition Ecologique et de la Cohésion des Territoires, il n’est question que de construction, en aucun cas de rénovation ou de réhabilitation : L’extrait qui nous concerne : On pointera par ailleurs une incohérence dans ce tableau. Dans la première colonne, les pistes cyclables et voies vertes sont exclues du processus. Et dans la troisième colonne, il est question de construction de pistes cyclables et de voies vertes. Comment un type de voie exclu de la colonne “catégories de projet” peut apparaître dans la colonne des “projets soumis à examen au cas par cas” ? Nous sommes donc suspendus aux décisions rendues par la justice. Affaire à suivre...
Sophie POUILLY | le 21/10/2024
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