L’AF3V était présente à cette rencontre sur les mobilités Alpines à Bourg-Saint-Maurice le 10 sept. 2024, où les territoires ont partagé leurs expériences de solutions de mobilité moins carbonées. 👉Avec des ateliers sur la fresque de la mobilité pour mieux comprendre les interactions. 👉 Une intervention d’Aurélien Bigo qui a rappelé l’évolution des mobilités et…
L’AF3V était présente à cette rencontre sur les mobilités Alpines à Bourg-Saint-Maurice le 10 sept. 2024, où les territoires ont partagé leurs expériences de solutions de mobilité moins carbonées.
👉Avec des ateliers sur la fresque de la mobilité pour mieux comprendre les interactions.
👉 Une intervention d’Aurélien Bigo qui a rappelé l’évolution des mobilités et l’augmentation parallèle du carbone dans l’atmosphère, les solutions de nouvelles mobilités alternatives à l’autosolisme, mais aussi du partage des petites voiries pour laisser plus de place à la petite Reine.
👉Une intervention remarquée de Guillaume Desrues , Maire de Bourg Saint Maurice, sur l’évolution importante de la fréquentation du Funiculaire vers les Arcs, en intermodalité avec les TGV et TER, soit + 40% entre 2019 et 2024, de 600 000 à 900 000 Voyageurs/an, grâce à une diminution par 3 du prix du billet passant de 15€ à 5€.
Potentiel de cette vallée
Grâce à une voie verte entre Aigueblanche et Moutiers qui devrait se poursuivre jusqu’à Aime, où démarre une autre voie verte de 20 km jusqu’à Bourg saint Maurice et Seez, ce territoire pourrait envisager demain une véloroute.
Cette dernière pourrait se connecter à l’Est à l’Italie par le col du Saint Bernard et à l’ouest à la Belle Via , permettant de rejoindre la Via Rhona.
Elle participerait avec la via Maurienne, la Durance à vélo de Briançon à Avignon, la V64 entre Grenoble et Marseille et les 5 lacs entre le Leman et le lac Paladru, un véritable maillage de Veloroutes Alpines qu’il faudra interconnectées.
Cela dit ces veloroutes Alpines auront besoin d’un renfort d’emport vélos dans les trains, en particulier les TER à la belle saison, afin de faciliter l’itinérance à vélo, les proxi-trip de cyclosportifs, bike packers et cyclo-randonneurs à sacoches.
👉C’est la condition pour qu’un tourisme à velo bas carbone se développe dans les Alpes.
